
Chez nous, et dans la plupart des familles québécoises de ma génération, il y avait toujours des céréales au déjeuner. Inutile de préciser qu'à l'époque de ma jeunesse, on ne trouvait point de ces céréales "bonbons" tellement raffinées et sucrées, remplies d'additifs et de colorants artificiels, qu'elles méritent à peine de porter le nom de "céréales". Petit garçon, l'homme raffolait des flocons d'avoine bien chauds, sucrés à la cassonade ou au sirop d'érable. Mais depuis qu'il se sait atteint de la maladie coéliaque, il devait se...
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